étaient mus par la tendresse, on ne pouvait leur résister, et que dans le mépris et l'indignation, leur expression avait quelque chose de foudroyant.
Odorat
Comme une petite maîtresse je ne peux supporter aucune odeur, et malgré l'usage peu modéré que je fais du tabac de Virginie depuis plus de 40 ans, le parfum d'une violette, d'une rose &c &c me donne des vertiges, me fait pâlir, me rend chancelant et m'oblige à fuir la chambre ou le salon qui les renferme. Notez cependant que depuis mon enfance j'aime les fleurs avec passion, que je passerais des journées entières à les cultiver sans que leur parfum, même celui de la tubéreuse, me soit nuisible. Ce travail au milieu de l'air embaumé des jardins fleuristes Note éditoriales n-022 (AdC) : Jardin où on ne cultive que des plantes dont on veut obtenir la plus belle variété de fleurs. #n-022, est au contraire celui qui dans tous les tems, lorsque j'étais bien fatigué de corps ou d'esprit, ou de tous deux en même temps, reposait mieux mes forces et mes idées épuisées. Aujourd’hui que je marche sur ma soixante-dix-huitième année, j'ajouterai à ce qui précède, que je conserve encore cette extrême sensibilité