ans à Paris#paris ; ayant appris la chute que Mr Baudelocque#JBB venait de faire, vint lui rendre visite et lui offrir de voir ses malades pendant le tems qu'il garderait la chambre. Mr Baudelocque#JBB le remercia en lui disant qu'il avait un élève capable de lui rendre ce service. Mais le jeune homme qui avait d'autres vues, pria Mr B. #JBB de lui permettre de venir le voir et de vouloir bien l'aider de ses conseils. Mon oncle ayant acquiescé à sa demande, il profita si bien de la permission que deux mois après il était son gendre et tout naturellement son successeur Note éditoriales n-059 (AdC) : Il semble que Deneux confonde deux mariages : en février 1783 Jean-Baptiste Baudelocque marie effectivement une de ses filles, Marie-Rose (Rosalie), avec un certain François-Nicolas Crampon ; quant à Antoine Péchin, « son gendre et tout naturellement son successeur », il épouse Marie Madeleine Félicité Baudelocque en novembre 1784, soit plus d'un an après l'accident évoqué par Deneux. #n-059.
Cet événement au lieu de me
décourager et de
me faire perdre l'idée de continuer l'étude de la médecine,
produisit un effet
me donna l'espoir de
contraire, et me trouvant avec un nouveau maître qui sortait
des écoles,
je connus l'espoir de faire plus de progrès
de pouvoir […] de ses
connaissances
; mais je ne tardais pas à m'
appercevoir [sic.]
qu'on avait peu d'acquis et qu'on n'aimait ni les livres, ni
l'étude.
Huit jour après sa chute mon oncle, sans être guéri de son entorse, reprit ses habitudes, mais